C'était l'évènement à ne pas manquer et j'étais là, à attendre sur le bord de la route (pendant une demi-heure) que passe le flot de motos, et à saluer fraternellement les augustes bikers.
Ils étaient des centaines, ils étaient des milliers, blousons de cuir et casque à pointe parfois, venus s'imposer dans le paysage routier français pour affirmer (j'ai failli taper a-frimer) leur indépendance et leur liberté.
C'était beau.
Comme un camion.
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